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5 avril 2014

Joke stupide Patou ~ Déclaration d'amour courte

     Alors la fille dit à son mec qu'elle aime bien:  «Je t'aime en titi et je ne fais plus au lit»

Je me la suis contée comme joke dans ma cuisine toute seule et je l'ai trop aimée...  Même stupide, alors je vous la partage via ce blog.

A+

je ne fais plus au litje ne fais plus au lit2

 

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25 janvier 2011

Mon Dragon Respire La Vie

Clique sur:

respiredragonpat

Il respire joyeusement et la terre et le soleil brillent comme il faut!

Patsy Love You

20 mars 2010

Un élève modèle Japonnais À lire Tordant!!

Extrait de:

http://www.madagascar-tribune.com/Une-classe-en-cours-d-histoire,12523.html

Une classe en cours d’histoire
samedi 15 août 2009
L’institutrice présente à la classe un nouvel élève arrivant du Japon : Sakiro Suzuki. Le cours commence.

L’institutrice :
- Bon, voyons qui maîtrise l’histoire de la culture franco-américaine. Qui a dit : « Donnez-moi la liberté ou la mort. »

Pas un murmure dans la salle. Suzuki lève la main :
- Patrick Henry, en 1775 à Philadelphie.

L’institutrice :
- Très bien Suzuki ! Et qui a dit : «  L’État est le peuple, le peuple ne peut pas sombrer ».

Suzuki lève la main :
- Abraham Lincoln, en 1863 à Washington.

L’institutrice :
- Excellent, Suzuki ! Maintenant, qui a dit : « Je vous ai compris ? »

Suzuki lève la main et dit :
- Charles De Gaulle !

L’institutrice regarde les élèves et dit :
- Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connaît l’histoire française et américaine mieux que vous !

On entend alors une petite voix au fond de la classe :
- Allez tous vous faire f..., connards de Japonais !

- Qui a dit ça ? s’insurge l’institutrice.
Suzuki lève la main et, sans attendre, dit :

- Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee lacocca, 1982, lors de l’assemblée générale de General Motors.

Dans la classe plongée dans le silence, on entend d’un premier élève un discret :
- Y’m’fait vomir...

L’institutrice hurle :
- Qui a dit ça ?

Et Suzuki répond :
- George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991.

Un deuxième élève se lève alors et crie :
- Pomp’moi l’gland !!!

Et Suzuki, sans sourciller :
- Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche, à Washington.

Un troisième élève lui hurle alors :
- Suzuki, espèce de merde !

Et Suzuki :
- Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002...

La salle tombe littéralement dans l’hystérie, l’institutrice perd connaissance, la porte s’ouvre et le directeur de l’école apparaît :
- MERDE, je n’ai encore jamais vu un bordel pareil !

Et Suzuki :
- Ndimby, le célèbre éditorialiste de Madagascar-Tribune lorsqu’il a rendu son tablier le 25 juin 2009.

Quatre turbulents dansent sur les pupitres ; le Directeur, vert de rage, est proche de la syncope. Il tente de rétablir l’autorité de l’institution et hurle :
- Maintenant la récréation est finie et tout le monde se met au travail !

Et Suzuki de conclure :
- Joaquim Chissano, ancien Président du Mozambique ayant mené avec obstination plusieurs missions de médiation pour Madagascar, le 9 août 2009 lors de son discours de clôture des négociations de Maputo.

13 février 2010

Rigolons Ensembles Ha Ha Ha !!

À lire jusqu'au bout sans pisser de rire, un défi !

Monsieur et Madame regardent la télévision, quand tout à coup Madame dit : « Je suis fatiguée chéri, je vais me coucher. »
>
> Elle se rend à la cuisine et sort des petits croissants congelés pour le petit déjeuner, rince un bol dans le lavabo,

> part le lave-vaisselle, sort le poulet du congélateur pour le souper du lendemain soir, 
> remplit la boîte à sucre et prépare le café pour le lendemain matin.
>
> Puis, elle met le linge dans le sèche-linge, tant qu'à y être met une autre brassée dans la machine à laver. 
> Elle baille et s'étire et, se dirigeant vers la chambre à coucher, s'arrête près du bureau pour ramasser un livre de classe 
> qui traînait sous une chaise. 
> Elle écrit une petite liste d'épicerie pour le lendemain et la dépose près de son sac à main. 
> Elle se rend à la salle de bain, s'applique de la crème sur le visage, brosse ses dents, 
> se lime un ongle cassé, ramasse les jouets dans le bain et accroche derrière la porte une serviette encore mouillée...
>
> Son mari lui dit : « Je croyais que tu allais te coucher! », et il lève les yeux au ciel et hoche la tête en signe d'incompréhension. 
> « J'y vais, j'y vais! », répond-t-elle. Elle remplit le bol d'eau du chien et met le chat dehors, 
> puis en fermant les lumières extérieures, s'assure que les portes sont bien barrées. 
> Elle fait le tour des chambres des enfants, donne une pastille à celui qui tousse, replace une lampe, 
> raccroche une chemise, met les chaussettes sales dans la corbeille à linge. Une fois rendue dans sa chambre, 
> elle programme l'alarme de son réveil et sort ses vêtements pour le lendemain.
>
> Pendant ce temps, son mari ferme le téléviseur et dit tout bonnement : « Moi aussi je vais me coucher. » 
> Il se rend dans la chambre et s'assoit sur le lit puis déclare à sa bien-aimée : 
> « Ah les femmes! Toujours long le pomponnage même avant de se coucher! »
>
> Puis il baille, enlève ses bas, les sent avant de les jeter par terre, s'étire, lâche un pet, 
> se gratte la poche et se couche l'esprit en paix, heureux d'être un homme!
> Envoyez cette histoire à 5 femmes exceptionnelles, cela les fera assurément sourire!
>
> Bonne semaine mesdames!

12 février 2010

Soeurs restons ce que nous sommes

Soyez le genre de femme, que lorsque vous posez les pieds sur le sol chaque matin, le diable se dit : "OH MERDE, elle est levée !" chères sœurs de coeur La vie est trop courte pour se réveiller avec des regrets. Aimez les gens qui vous traitent correctement et aimez ceux qui ne le font pas, simplement parce que vous en êtes capables. Croyez qu’il y a une raison pour tout ce qui arrive dans la vie. Si vous obtenez une deuxième chance, saisissez-la avec vos deux mains. Si ça change votre vie, n’hésitez pas, faites-le. Embrassez lentement. Pardonnez rapidement. Dieu n’a jamais dit que la vie serait facile. Il nous a juste promis qu’elle en valait la peine. Aujourd’hui, c’est la journée des Sœurs, envoie ce message à toutes tes sœurs, mères, filles, amies, cousines et même à moi si j’en suis une pour toi (ou presque). Si tu en reçois, tu es aimée. Bonne journée! Yé tèèèème ma sœur!!! Journées des sœurs et amies ! À toutes les femmes qui ont eu un impact sur ma vie ! (que Dieu vous sourît aujourd’hui) À toutes mes amies ! Soyez heureuses ! Que c’est bon d’être une femme !

Soyez le genre de femme, que lorsque

vous posez les pieds sur le sol chaque

matin, le diable se dit :

"OH MERDE, elle est levée !"




chère soeurs de coeur



La vie est trop courte pour se réveiller

avec des regrets.

Aimez les gens qui vous traitent

correctement et

aimez ceux qui ne le font pas,

simplement parce que vous en êtes

capables.

Croyez qu’il y a une

raison pour tout ce qui arrive dans la vie.

Si vous obtenez une deuxième chance,

saisissez-la avec vos deux mains.

Si ça change votre vie, n’hésitez pas,

faites-le.

Embrassez lentement.

Pardonnez rapidement.

Aujourd’hui, c’est la journée des Sœurs,

envoie ce message à toutes tes sœurs,

mères, filles, amies, cousines et même

à moi si j’en suis une pour toi (ou presque).

Si tu en reçois,

tu es aimée.

Bonne journée!


Yé tèèèème ma sœur!!!




Journées des sœurs et amies !

À toutes les femmes qui ont eu

un impact sur ma vie !



(que Dieu vous sourit aujourd'hui)

À toutes mes amies !


Soyez heureuses !

Que c’est bon d’être

une femme !


Dieu n’a jamais dit que la vie serait facile.

Il nous a juste promis qu’elle en valait la peine.







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4 février 2010

Qui c'é qu'y l'a ? Marie Stella...

http://www.quartierlibre.ca/Grandir-trop-vite

Grandir trop vite

Rachelle Mc Duff

« Qui est-ce qui l’a c’est Marie Stella, les deux pieds dans le chocolat ». Inspirée de cette célèbre comptine pour enfants plutôt naïve, la pièce de Simon Boulerice est néanmoins loin d’exploiter un sujet anodin : l’hypersexualisation des jeunes filles...,  extrait du lien ci-dessus


http://www.journalmetro.com/event/102728

***

http://www.whatupp.com/index.php?c=event&m=view&id=5007&media_id=13437

Ajoutez votre événement c'est gratuit!

***

http://dimanchematin.com/2008/08/29/quest-ce-qui-reste-de-marie-stella-un-singulier-jeu-de-massacre/

***

http://www.cyberpresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/200908/29/01-897048-quest-ce-qui-reste-de-marie-stella-apres-les-jeux-denfants.php

***

http://www.lequatrieme.com/2008/08/quest-ce-qui-reste-de-marie-stella-abat.html

***

http://www.rockdetente.com/estrie/actualites/pop-musique/107198-qu-est-ce-qui-reste-de-marie-stella/

***

http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=5&section=8&article=60139

***

http://www.voir.ca/infocenter/show.aspx?zone=1&section=8&show=97652&performance=203471

***

Et voilà, je suis contente de voir que je ne suis pas seule à me rappeler de Qui c'é qui l'a Marie Stella...

Bye

Pat

3 février 2010

Extrait du film "Nos enfants nous accuseront"

3 février 2010

Comment faire un câlin à un bébé

COMMENT DONNER UN CALIN À UN BÉBÉ!

Premièrement, trouver un bébé.



bebepht1

Deuxièmement, soyez certain que l'objet trouvé est bel et bien un
bébé en employant une technique de ' sniff '.



bebepht2


Troisièmement,faudra ensuite aplatir le bébé avant de commencer
le processus du câlin.


bebepht3


Le glissage de la 'patte'...simplement glisser les pattes autour du
bébé pour un début de rapprochement.



bebepht4


Enfin, si la caméra est présente, faudra exécuter la difficile tâche du
câlin, sourire et se pencher pour avoir la plus belle photo.



bebepht5

24 janvier 2010

Recherche sur Amstramgram et les Francs Patsy

Suite à ma première recherche pour;

http://gardendenfant.fr.gd/Ams-tram-gram.htm


J'ai voulu savoir qui étaient les "Francs"

Voici  ce qui suit extrait de

http://fr.wikipedia.org/wiki/Francs

Veuillez noter que les liens dans le texte ne fonctionnent pas vous en aurez plus encore avec le lien cité chez wikipedia.org


Francs

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Page d'aide sur l'homonymie Cet article concerne le peuple germanique historique. Pour la monnaie du même nom, voir Franc (unité monétaire). Pour les autres significations, voir Franc.

Histoire de France

Adhémar de Monteil à Antioche.jpeg

Antiquité

Moyen Âge

Époque moderne

Époque contemporaine

Voir aussi :

Chronologie de la France

Histoire de l’Allemagne

Modifier

Les Francs sont un peuple germanique apparaissant sous la forme d'une confédération de tribus au moment des Grandes invasions. Une partie d'entre eux joue un rôle central dans l'histoire de France, des Pays-Bas, de Belgique et d'Allemagne à compter de leur sédentarisation en Gaule romaine.

Sommaire

[masquer]

Histoire [modifier]

Légendes et théories sur les origines des Francs [modifier]

Plusieurs légendes et théories ont été proposées pour expliquer l'origine des Francs.

  • Vers 580, le chroniqueur Grégoire de Tours parle d'un peuple de Pannonie qui aurait remonté le Danube puis se serait installé sur les bords du Rhin, pour ensuite envahir la Gaule[1],[2].
  • Vers 660, La chronique de Frédégaire, suivie par le Liber Historiae Francorum vers 725, affirment que les Francs sont issus de rescapés de la ville de Troie, prise par les Grecs[2].
    Contestée dès le XVIIe siècle, cette théorie est maintenant abandonnée.
  • En 1714, l'historien Nicolas Fréret est le premier à énoncer la thèse selon laquelle les Francs sont issus d'une ligue de peuples germaniques, mais cette thèse jugée d'« attentatoire à la dignité de la monarchie » vaut à son auteur six mois d'emprisonnement à la Bastille[3].
  • S'appuyant sur l'aptitude maritime des premiers Francs et sur des pratiques guerrières et économiques différentes de leurs voisins les Germains, l'historien Roger Grand propose en 1965 de voir dans les Francs des émigrés scandinaves qui seraient venus sur les bords du Rhin au cours du IIIe siècle. Cette thèse n'a cependant pas résisté à la critique[4].

La fondation des ligues [modifier]

Durant les premiers siècles de notre ère, les peuples germains sont en constante migration, sous la pression d'autres peuples migrants. Les peuples situés entre le Rhin et la Weser, ne pouvant franchir le limes rhénan, migrent vers la Hesse et la Thuringe, mais se heurtent à d'autres peuples[5].

Pour résister à cette pression, une première ligue de peuples germaniques se constitue au début du IIIe siècle. Ses membres la nomment la ligue de tous les hommes (alle man en langue germanique). Cette ligue, qui apparaît pour la première fois en 213 dans les textes romains sous la forme Allamannicus qui a donné Alamans, avait pour but de résister aux peuples germains voisins et de conquérir de nouveaux territoires, d'abord sur d'autres peuples germains, puis en tentant de franchir le limes germanique[5].

Peu après, au milieu du IIIe siècle, une autre ligue se forme plus au nord et le long du Rhin. Il s'agit de la Ligue franque, d'abord constituée des peuples Chamaves, Chatuaires, Bructères et Saliens, et rejointe par la suite par les Ampsivariens, les Tenctères, les Tubantes et les Usipètes[6].

Francia est d'ailleurs une adaptation latine du IIIe siècle du terme Franko(n), nom que donnaient les Francs à leur domaine. "Francia" n’a alors pas une connotation politique mais plutôt géographique ou sociologique, comme Maghreb ou Balkans au XXIe siècle.[réf. nécessaire] Aux IIe siècle et IIIe siècle "Franci" désignait alors une ligue ou confédération de peuples germaniques installés sur la rive inférieure droite du Rhin (c'est-à-dire au Nord-Est du Rhin), au-delà des frontières de l'Empire romain. Les Francs n'étaient assujettis ni à l'Empire ni à un autre peuple, comme les Alamans, autre regroupement d'ethnies établies plus au sud sur la rive droite du Rhin (du germanique "All-" et "Mann-", regroupement de "tous les hommes"). Ainsi "frank" ou francus signifierait "libre" (libre de la domination romaine, mais pourrait être une interprétation postérieure, un adjectif tiré du nom propre[7]) en langue germanique. La racine frank n'appartenant pas au germain primitif, l'étymologie frie-rancken (libere vacantes)[8] pourrait aussi signifier libres voyageurs[9]. On peut aussi retrouver l'origine du mot Franc dans le mot Frekkr, signifiant hardi, courageux, intrépide, vaillant en vieux norrois[7]). Le peuple franc est avant tout un peuple de guerriers qui élisait un chef de guerre, nommé roi des Francs, qui exerçait son autorité dans son gau ou pagus (pays), et se plaçait librement sous son autorité pour les affaires militaires.

Entre Empire romain et Germanie [modifier]

C'est en 254 que les Francs débutent leurs incursions sur le sol romain. au même moment, les Alamans attaquent une nouvelle fois le limes qu'ils franchissent et ravagent la Gaule Belgique. Durant le début du IIIe siècle, la transgression flandrienne provoque la progression de la mer du Nord sur la Flandre et la Frise, transforme le lac Flevo en golfe marin, le futur Zuiderzee. Il s'ensuit un appauvrissement des populations locales, les Frisons, les Francs et les Saxons, qui incite ces derniers à se lancer dans la piraterie et le pillage de l'Empire romain. Il commencent par le pillage de la Germanie inférieure avant d'être repoussé par Gallien en 257. Profitant du départ de Gallien vers la Pannonie, les Francs reprennent leurs incursions, mais sont provisoirement battus par Postumus. Il se proclame empereur des Gaules et doit lutter contre Gallien, ce qui laisse le champ libre aux incursions terrestres des Francs, qui se lancent également dans des expéditions maritimes, ravageant la baie de Somme, le Cotentin, le Morbihan, les basses vallées de la Seine et de la Loire et même les côtes de la Lusitanie. Ce n'est qu'en 264 que Postumus réussit à mettre fin à ces raids, tant terrestres que maritimes[10].

La mort de Postumus et les luttes de ses successeurs contre les empereurs légitimes laissent le champ libre aux Francs et aux Alamans qui reprennent leurs pillages en 269. Probus soumet les Alamans en 277, mais ne parvient pas à réduire ni les Francs occidentaux qui occupent la Batavie, ni les Francs transrhénans qui occupent la Toxandrie et les environs de Trèves[11]. En 286, Carausius, un général romain envoyé en Bretagne par l'empereur Maximien et craignant une disgrâce se proclame empereur. Afin d'empêcher Maximien de réagir, il s'empare de Portus Itius, s'allie aux Francs et les installe sur les embouchures du Rhin afin de contrôler les deux points qui pourrait permettre à Maximien d'envahir la Bretagne. En 287 ou en 288, Maximien écrase le roi salien Gennobaud qui choisit de se soumettre sans combat, avec tout son peuple. Maximien accepte sa reddition et installe les Saliens en Toxandrie, à l'embouchure du Rhin derrière le limes en Gaule belgique, d'abord sous le statut de Lètes (soumis à l’autorité impériale), mais ce succès ne lui permet pas de reconquérir la Bretagne, la flotte romaine ayant probablement été malmenée par une tempête. Constance Chlore termine la reconquête de la Bretagne et, ayant eu des problèmes avec quelques Francs, déporte des Chamaves et des Frisons en Gaule dans les pays des Ambiens et des Bellovaques[12].

En 306, Ascaric et Mérogaise, deux rois francs, probablement bructères envahissent la Gaule, mais Constantin les vainc, les capture et les fait jeter aux fauves à Trèves[13].

Durant le IVe siècle, les invasions continuent mais sont toutes repoussées par l'armée romaine. Un nouveau phénomène apparaît au sein de cette dernière. En effet, les citoyens romains rechignent à s'engager dans l'armée ou simplement à faire leur service militaire, et pour compenser la baisse des effectifs, les empereurs romains engagent des soldats germains qui intègrent l'armée romaine. Nombreux sont les Francs qui s'engagent et certains parviennent aux plus hautes fonctions militaires et politiques :

Articles détaillés : Fédérés francs et Lètes.

Les grandes invasions [modifier]

Les Francs entre 400 et 440. Les zones colorées et pâles indiquent les tentatives d'extension des deux peuples[35],[36].

Articles détaillés : Grandes invasions, Francs saliens et Francs rhénans.

Le Ve siècle commence par une période d'acalmie entre les Romains et les Francs. Mais la pression des Huns qui viennent d'Asie poussent les Vandales, les Wisigoths et les Burgondes vers l'ouest. Avec les hivers particuliérement rigoureux de 405 et 406, le Rhin et le Danube sont pris par les glaces, et les Barbares peuvent franchir facilement ces fleuves. Tandis que les Francs rhénans pillent une première fois Trèves, les Francs saliens protègent les provinces romaines de Belgique et de Germanie. Un de leurs chefs, Edobich, se rallie à l'usurpateur Constantin III qui organise la défense contre les envahisseurs[37].

Les Francs saliens se regroupent ensuite en une seule nation et sont gouvernés par Théodomir, tué vers 420 par les Romains, puis par Clodion le Chevelu. Profitant du retrait des troupes romaines de Gaule, il conduit son peuple vers le sud et s'empare de Tournai et de sa région. Ils sont cependant arrêtés et battus par Aetius, qui leur accorde un fœdus autour de Tournai. Plusieurs rois s'y succèdent, jusqu'à Clovis qui devient roi en 481[38].

La migration des Francs saliens, puis le fœdus qui leur est accordé, a pour conséquence d'isoler les Francs rhénans qui, coupés de leurs alliés saliens, se retrouvent seuls face aux Alamans. Entre 431 et 469, ils se regroupent en un seul royaume et négocient une alliance avec le royaume burgonde. Comme Gondioc, roi des Burgondes est également maître de la milice, les Francs rhénans obtiennent le droit de s'implanter sur la rive gauche du Rhin et occupent Cologne, Mayence et Trèves. Plus tard, en 496, ils écrasent les Alamans à Tolbiac avec l'aide de Clovis. Sigebert le Boiteux et Chlodéric, les derniers rois de Cologne, meurent en 508, et les Francs rhénans choisissent le salien Clovis pour leur succéder.

Les Mérovingiens [modifier]

Articles détaillés : Royaumes francs , Neustrie et Austrasie.

Parmi les Francs servant l'Empire depuis la fin du IIIe siècle, se trouvent les Francs saliens. Mérovée, ancêtre légendaire et quasi-divin est selon la tradition germanique la principale source de légitimité de leurs souverains qui en descendraient.

Toutefois, au Ve siècle leur roi est aussi devenu proconsul des Gaules, c'est-à-dire un fonctionnaire romain d'origine germanique mais très bien assimilé (en savoir plus sur cette dynamique d'intégration). Les Francs saliens sont alors solidement établis dans l'ancienne province romaine de Belgique seconde et leurs fonctions militaires leur confèrent un pouvoir important en ces temps troublés : le jeune Clovis (germ. Hlodowec, qui donne par la suite les prénoms Ludovic ou Ludwig en Allemagne et Louis en France) devient leur roi à Tournai, probablement en 481. Mais il lui faut plus que le pouvoir d'essence divine que lui confère la mythologie tribale germanique, pour s'imposer face aux évêques, aux patrices ou à la population gallo-romaine en partie christianisée.

Les "domaines francs" de 511 à 561 issus de Clovis, duc des Francs saliens.

Installé à Soissons, où il a renversé un général romain nommé Syagrius, Clovis est sans doute d'abord sensible aux conseils de sa femme burgonde, Clothilde, convertie au christianisme, et à ceux de l'évêque de Reims, Remi.

C'est peut-être au cours d'une bataille importante contre les Alamans, la bataille de Tolbiac, qu'il promet de se convertir à la religion chrétienne s'il est victorieux. Il tient parole et reçoit le baptême à Reims, avec 3 000 guerriers, entre 496 et 500. Par la suite, il tente d'inculquer les principes chrétiens à son peuple encore largement païen.

Après une suite de victoires sur ses rivaux barbares, notamment sur les Burgondes lors de la bataille d'Autun, Clovis apparaît donc comme l'un des premiers rois germains d'Occident à avoir adopté la religion chrétienne dominante, celle de Rome, contrairement aux Wisigoths ou aux Lombards ariens et aux Alamans païens.

Il parvient ainsi à gagner le soutien des élites gallo-romaines et à fonder une dynastie durable (laquelle prend le nom de son ascendant germanique) : les Mérovingiens.

A la suite des conquêtes de Clovis (royaume de Syagrius, Aquitaine) et de ses fils (Bourgogne, Provence), les Mérovingiens règnent sur la grande majorité de l'ancienne Gaule jusqu'au milieu du VIIIe siècle. Leurs souverains les plus connus sont : Dagobert Ier et la reine Brunehilde (ou Brunehaut). À cette époque, comme sous la dynastie suivante, il n'est pas question de « France », mais bien d'un « royaume des Francs » : les rois germains, en effet, ne règnent pas sur un territoire, mais sur des sujets.

Les Carolingiens [modifier]

Dès la fin du VIIe siècle, alors que le climat se réchauffe, faisant monter le niveau de la mer, laquelle envahit les terres des anciens saliens, de l'estuaire du Rhin à la Flandre maritime du nord de la France, la politique est marquée par des querelles sanglantes entre les Francs neustriens (à l'ouest) et austrasiens (à l'est), les derniers Mérovingiens sont cantonnés à un rôle de souverain d'apparat. Ils ont un royaume exsangue : le pouvoir émietté est aux mains des aristocrates terriens. La culture latine a progressivement régressé au cours des deux siècles précédents. Une crise économique sans précédent a mis à mal l'ensemble des repères de l'Occident antique : elle est notamment due à la fermeture des routes commerciales avec le monde méditerranéen à cause des conquêtes arabes.

L'empire franc, de 481 à 814

C'est dans ce contexte que commence l'ascension d'une nouvelle famille. Parmi les réels détenteurs du pouvoir, les maires du palais austrasiens prennent de facto le contrôle de l'ensemble du royaume des Francs, avant de détrôner publiquement le dernier mérovingien et de former leur propre dynastie : il s'agit des Pippinides (qui tire son origine de Pépin), ultérieurement connus sous le nom de Carolingiens (nom qui vient de Charlemagne). Soucieux de légitimer leur coup d'État, les Pippinides prétendent descendre de Francus, un Troyen légendaire, se rattachant par là à l'histoire de Rome.

Le pouvoir des Carolingiens marque l'entrée réelle dans le Moyen Âge: le centre du pouvoir se déplace vers l'est, des cités épiscopales antiques vers les domaines ruraux des comtes carolingiens. Il est remarquable que dans le même temps, les hommes de lettres, conscients de la disparition de la culture antique, tentent de la faire renaître : c'est la Renaissance carolingienne. Charlemagne, le deuxième et plus prestigieux souverain carolingien est lui-même couronné Empereur des Francs et des Romains en l'an 800 à Rome. Mais il est difficile de voir dans son Empire, une véritable "renaissance de l'Empire romain" (renovatio imperii).

Naissance de la France [modifier]

En 842, les serments de Strasbourg, prêtés entre deux des petits-fils de Charlemagne, héritiers de l'Empire qui se déchirent, témoignent de l'usage de langues qui sont totalement différentes à l'ouest et à l'est. Ils sont suivis du traité de Verdun en 843, qui consacre de fait la division de l'Empire carolingien en trois : Francie occidentale, Francie orientale et Francie médiane.

Au Xe siècle, l'arrivée au pouvoir d'une dynastie saxonne, les Ottoniens, en Germanie, et celle des Capétiens en Francie occidentale marquent la fin de la dynastie des Carolingiens. Le terme Francs reste toutefois en usage pour distinguer les habitants de la France durant le Moyen Âge et c'est par le nom de franj que les chroniqueurs arabes décrivent au XIIIe siècle les croisés.

Statuette trouvée au Mans représentant un Franc. Dumbarton Oaks, Washington.

Le peuple franc [modifier]

Physionomie [modifier]

Différents auteurs décrivent l'aspect et les caractéristiques physiques des Francs tel leur contemporain Sidoine Apollinaire « Ils ont la taille haute, la peau blanche, les yeux bleus, ils se rasent entièrement le visage, sauf la lèvre supérieure où ils laissent pousser deux petites moustaches ; leurs cheveux, courts derrière et longs devant, sont d'une blondeur admirable ; leur vêtement est si court qu'ils ne leur couvre même pas le genoux, et si serré qu'il laisse voir la forme de leur corps ; ils portent une large ceinture où pend une lourde épée, très tranchante[39] ».

Au XIXe siècle, Chateaubriand dans son sixième chant des Martyrs se plaît à imaginer leur aspect : « Parés de la dépouille des ours, des veaux marins, des aurochs et des sangliers, les Francs se montraient au loin comme un troupeau de bêtes féroces. Une tunique courte et serré laissait entrevoir toute la hauteur de leur taille, et ne leur cachait pas les genoux. Les yeux de ces Barbares ont la couleur d'une mer orageuse ; leur cheveleure blonde, ramenée en avant sur leur poitrine, et teinte d'une liqueur rouge, est semblable à du sang et à du feu. La plupart ne laisse croître leur barbe qu'au-dessus de leur bouche, afin de donner à leurs lèvres plus de ressemblance avec le mufle des phoques et des loups ».

Les ethnies de la ligue des Francs [modifier]

Les peuples qui constituaient la ligue des Francs sont supposés être :

À ce noyau initial de peuples francs se sont rajoutés plus tardivement trois autres peuples :

Les peuples francs au IIIe siècle[44].
En orange, l'Empire romain ; en vert les peuples francs.

L'historien belge Godefroid Kurth mentionne d'autres peuples, mais qui sont des peuples de la Germanie inférieure qui n'ont pu se fondre parmi les Francs qu'au Ve siècle, après l'occupation de cette province par les Francs : ce sont les Tongres et les Ubiens[40].

Kurth et Werner comptent également les Sicambres ou Sugambres parmi les peuples francs. Ce peuple, combattu par César et ses successeurs, n'est plus mentionné après le Ier siècle. Il est probable qu'il se soit fondu dans les peuples germains voisins (Ampsivariens, Chattuaires, Tubantes et Tenctères), réminiscence d'où serait venu l'apostrophe de saint Remi en baptisant Clovis : « Courbe la tête, fier Sicambre, abaisse humblement ton cou. Adore ce que tu as brûlé et brûle ce que tu as adoré »[41],[42].

Les Chérusques sont parfois rattachés aux Francs alors que certains les mentionnent comme faisant partie des Saxons.

Les Chauques, établis au nord-est des Frisons, sont plus souvent rattachés aux Saxons qu'aux Francs. Cependant, l'historien Jean-Pierre Poly a proposé de voir en les Saliens une tribu chauque qui a quitté son peuple pour rejoindre les Francs[45]. L'historien allemand, Karl Ferdinand Werner, estime que les Chauques ont constitué l'élément central de la Ligue des Francs, au point que les deux termes sont confondus par les Romains, avec pour conséquense que leur chroniques ne parlent plus des Chauques[46].

Les Chattes et les Bataves comptent éventuellement parmi les Francs selon Ferdinand Lot[réf. nécessaire].

Plus tard une partie des Francs, déplacée vers l'ouest, se fondra avec les saliens des rivages du nord de la Gaule ; on parlera des Francs Saliens à l'ouest et des Francs rhénans un peu plus à l'est, sur les rives du Rhin et de la Meuse. Le terme de Francs Ripuaires (de ripa = rive) n'apparaît qu'au VIIe siècle et représente les Francs rhénans[47].

Remarques :

  1. L'historien romain Tacite ne mentionne pas les Francs en l'an 98 après J.-C. dans son livre (en réalité : un catalogue) Germania.
  2. Dès leur installation en Belgique et dans le nord de la France actuelle (établie au quatrième siècle), les Francs (Saliens) sont considérés par les Romains comme un peuple à part, ayant leurs propres us et coutumes.

Les peuples cités plus haut auraient donc fusionné dans un temps relativement bref (120 ans).

Religion [modifier]

Thor sur un manuscrit islandais du XVIIIe siècle. Institut Árni Magnússon, Islande.

Les Francs partageaient le paganisme polythéiste des Ases, fixant le destin des hommes, avec les autres peuples germaniques et scandinaves. Le dieu Wotan était le père des dieux, il présidait à la guerre, à la poésie et à l'éloquence. Il eut pour épouse Frigg, déesse de la fécondité et de la victoire, avec qui il eut un fils, Thor, dieu du tonnerre, du vent, des saisons[48], de la fertilité[49]. Les Germains vus comme héros étaient également déifiés. Le chef des Chérusques, Hermann ou Irmin (latinisé en Arminius), qui avait été élevé à Rome et avait servi dans les armées d'Auguste, retourna en Germanie et organisa une résistance contre l'empire. En 9, il tendit un piège à Varus à Teutoburgenwald, où ses légions composées de près de cinquante mille soldats furent massacrées. Hermann mena des escarmouches contre les Romains, et s'employa à détruire les fortifications romaines de l'Elbe, de la Weser et duRhin. Voulant appaiser les conflits entre rois germains, il fut accusé de dictature et finalement empoisonné. Il fut alors érigé en héros et célébré par des chansons populaires. Les Saxons lui dédièrent un temple à Ehresbourg (Stadberg) en Westphalie, faisant face à un arbre nommée Irminsul. Les Germains lui vouèrent un culte en se réunissant autour d'Irminsul, jusqu'à ce que Charlemagne fasse abattre l'arbre en 772 pour abolir le culte païen[50]. Ils vénéraient également la nature comme les sources, les arbres et les rochers, mais aussi les astres, notamment la Lune et le Soleil. Ils pratiquaient des sacrifices humains, généralement des prisonniers, pour apaiser les divinités. Leurs rites se déroulaient autour d'un arbre sacré, au sommet d'un rocher, ou au fond d'une caverne. Ils croyaient à la résurrection des corps[50] et, les Germains occidentaux, enterraient les morts avec leurs objets précieux et leurs armes, afin de continuer à guerroyer outre-tombe et à festoyer après que Wotan les aient envoyés dans le Walhalla (Valhöll). Les Germains orientaux (Burgondes, Goths...) purent pratiquer des rites funéraires différents, à cause de divergence en cette croyance[51].

Abeilles en or provenant de la tombe de Childéric.

Ainsi, Childéric Ier se fit inhumer avec des vêtements brodés d'or et était revêtu d'un manteau en brocart de soie pourpre revêtu d'abeilles d'or cousues avec grenats, le paludamentum des généraux romains. Il s'agissait peut-être d'abeilles naissant dans une peau de taureau et fournissant à l'humanité le miel de l'abondance[52]. Il portait également une cuirasse et une fibule cruciforme en or, insigne des hauts fonctionnaires impériaux. Sa bourse était remplie de plus d'une centaine de pièces d'or frappées entre les règnes de Théodose II et Zénon. À cela s'ajoutaient plus de deux cents monnaies d'argent datant de la république romaine jusqu'à Constance II et un anneau sigillaire[53]. Son épée longue (spartha) possédait une garde composée de deux animaux dos à dos, sa bouterolle décorée d'une plaque à deux têtes d'oiseaux symétriques, ainsi que la hache d'un seul tranchant. Le scramasaxe était rangé dans un fourreau décoré d'or cloisonné avec des grenats. À son épée était suspendue un talisman fait en boule de cristal de roche. Ses chevaux de guerre ayant été sacrifiés pour être enterrés avec lui, devaient lui venir en aide pour combattre au Walhalla, à l'image de Wotan chevauchant Sleipnir[54]. Une imitation de tête de taureau, symbole de force et du renouvellement de la vie, était accrochée sur la tête de l'un d'entre eux[55]. Le titre de chef était décerné à celui dont la famille descendait d'un dieu. Les généalogies remontant toutes à une origine divine, la succession de Chlodion, père ou oncle de Mérovée (dont la mère aurait été violée par un monstre marin en forme de serpent appelé Neptune Quinotaure[56] (cinq fois taureau), ou d'un monstre anguipède (au pied de serpent), peut-être un dieu indo-européen, engendrant une dynastie sacrée) est sûre car les généalogies apprises par coeur chez les peuples dépourvus d'écriture, étaient confiées à la mémoire collective. Ainsi, les descendants de Mérovée, appelés Mérovingiens, furent les fils de Mérovée. Il en était de même chez les autres peuples germaniques comme les Amales ou les Anglo-saxons[57] : en 450-455, les chefs anglo-saxons Hengist (étalon) et Horsa (cheval) débarquèrent sur l'île de Bretagne, ils affirmaient avoir Voden (Wotan) comme arrière grand-père[58].

Odin chevauchant Sleipnir jusqu'au Valhalla, pierre runique du VIIIe siècle.

Au combat, le roi-prêtre[59] s'exposait à la vue des adversaires, action vue comme preuve d'une grande hardiesse [60]. Seul cavalier de la troupe, il chevauche une monture blanche afin de se rendre mieux visible de ses ennemis. Souverain sur le plan temporel et spirituel, il est sacré par la diffusion du charisme (heil[61]) du chef de guerre (heerkönig, littéralement « roi d'armée »[62]) : véritable incarnation de Wotan chevauchant Sleipnir, il est possédé par le heil qui lui procure vie, santé, victoire (devenant ainsi heilag), puissance sacrée déclenchant la violence destructrice. Il devient ainsi le descendant des dieux possédé par les puissances de l'au-delà[63]. S'il est tué au combat, c'est que les dieux l'ont abandonné ou choisi pour le Walhalla. La mort du roi signifiait la retraite pour les adorateurs de ce chef de guerre possédé, dont la fureur guerrière était divine. Wotan étant fourbe, inconstant et rusé, il inspirait un tel comportement à ceux qu'il possédait. Le pouvoir des guerriers pouvait être renforcé par Thor, et par Freya dont les prêtresses sacrifiaient des hommes pour équilibrer les morts et obtenir la victoire, ou pour obtenir des enfants[49]. Le paganisme déclina à partir de l'adoption du catholicisme après le baptême de Clovis Ier en 496. Le choix catholique permit aux Francs d'avoir l'appui du clergé gallo-romain qui luttait contre l'arianisme, une hérésie que les autres peuples germaniques avaient adoptée afin de se rapprocher des chrétiens et de Rome. Cependant, pour les Germains, l'arianisme se rapprochait plus de leur ancienne religion, car le roi-prêtre païen conservait toute sa sacralité et restait détenteur de pouvoirs temporels et spirituels, engendrant un totalitarisme chrétien[59].

Article détaillé : Mythologie germanique.

Organisation militaire [modifier]

Plaque de chancel faisant partie d'une frise représentant un cavalier germain. Halle, musée de Landes.

Les Francs eux-mêmes utilisaient des scramasaxes (épée de taille moyenne), des angons ou framées (lances à crochet permettant d'immobiliser l'adversaire en se fichant dans son bouclier), et des francisques (haches de jet à simple tranchant). Ces armes qui étaient technologiquement développées pour l'époque, alliées à un savoir-faire au combat développé par les Francs, sans cesse menacés à l'époque par leurs voisins germains, celtes et romains, ont permis à ce peuple de s'imposer assez rapidement mais au prix de durs combats... Au combat, ils n'employaient ni casque, ni cuirasse, c'est-à-dire tête nue et poitrine découverte. Les guerriers portaient le scramasaxe sur la cuisse et tenaient un bouclier en cuir de la main gauche. Comme ils préféraient l'infanterie à la cavalerie, les guerriers francs portaient leur épée sur la cuisse et tenaient leur bouclier de cuir sur la main gauche[64]. Ils ne possédaient pas de cavalerie lourde. « Ils se servent rarement de longues lances ; ils portent des javelots (hastæ) dits framées, dont le fer est étroit et court. C'est un trait acéré, fait pour être lancé ou combattre de près. Le cavalier n'a qu'un bouclier ou une framée, les fantassins nus ou vêtus d'un léger sayon, lancent des javelots ; chacun d'entre eux en lance successivement plusieurs... Leurs chevaux ne sont ni fins ni agiles, ni éduqués à l'exercice[65] ».

Ils lançaient les francisques de manière à briser les boucliers en bois recouverts de cuir. Le système de défense consistait à se grouper en cunei (coin triangulaire) et à faire tournoyer en l'air leurs longues épées. Ils attendaient alors l'ennemi et abattaient, par la force du tournoiement, les épées sur l'adversaire. Le scramasaxe permettait d'affronter les ennemis au corps-à-corps. Le bloc triangulaire ne bougeant pas, ils pouvaient se faire massacrer en cas de sous-effectifs ou d'attaque par surprise[66]. Les victoires de Clovis sont en partie dues au fait qu'il alignait sur le champ de bataille non seulement ses Saliens, mais aussi des cohortes de Gallo-romains, et qu'il s'attachait à garder vivantes la rigueur et la stratégie de l'armée romaine, dans laquelle nombre de Saliens avaient servi en tant que Lètes.

La langue [modifier]

Légende :     Dialectes du bas francique des Pays-Bas.     Dialectes du bas francique d'Allemagne.     Francique ripuaire.     Francique méridional.

La langue ou plutôt les dialectes originellement parlés par les Francs ainsi que leur "profil culturel" sont rattachés au groupe ethnolinguistique indo-européen dit germain occidental, appelé souvent teutonique, comprenant deux sous-groupes : les montagnards au sud avec les Alamans, Gépides, Hérules, Lombards, Thuringiens, et le groupe des plaines au nord et à l'ouest : les Angles, les Francs, les Frisons et les Saxons, par opposition au groupe germain nordique ou scandinave (vieux norrois), parlé par les Normands (nord man : hommes du nord) et au groupe germain oriental ou gothique, qui se fragmenta, avec les Burgondes, Jutes, Ostrogoths, Suèves, Vandales, Wisigoths. Les montagnards parlaient le haut-allemand (hochdeutsch) et les hommes des plaines, le bas allemand (niederdeutsch). Les peuples germaniques au nord du Rhin et des Alpes, qui acquirent une culture écrite en dehors de l'empire gardèrent leur propre langue, les peuples qui envahirent l'empire abandonnèrent leur langue pour le latin[67].

Historiquement les Francs du début du Ier millénaire (bien avant Charlemagne) parlaient des dialectes du groupe linguistique dit bas allemand, groupe à l'origine du néerlandais, entre autres. Ce francique là n'avait sans doute pas de forme écrite, les Saliens, étant parmi les premiers Germains (parmi lesquels l'on peut compter les Bataves et les Ubiens) à s'établir en sol romain, utilisèrent donc hâtivement le latin comme en témoigne la rédaction de la loi salique, d'autant plus que pour plusieurs autres Francs auparavant (lètes et fédérés Francs), c'est le latin qui leur avait permis de servir et même de graduer dans l'armée romaine. En revanche, sous les Carolingiens, les Francs, principalement ceux du Rhin, s'étaient davantage répandus parmi les autres peuples germaniques et les variantes linguistiques avaient déjà pris le pas sur ce qu'on allait appeler le bas allemand, le moyen allemand et le haut allemand[68].

Articles détaillés : Francique (langue morte) et Histoire de la langue française.

Mots français d'origine francique [modifier]

Voici quelques mots que le français a emprunté à l'ancien francique, la langue des Francs.

  • ban et ses dérivés (bannir, banal) < ban, territoire soumis à une autorité, interdiction, déclaration publique[69]
  • éperon < *sporo (ancien francique, cf. l'allemand Sporn)
  • hêtre < *haistr (ancien francique)
  • fauteuil < faldistôl (francique, cf. l'allemand falten « plier » et Stuhl « chaise »)
  • jardin < *gart ou gardo (ancien francique, cf. l'allemand Garten et l'anglais garden), « clôture », mais aussi « épine »…
  • heaume < helm (francique casque, cf. l'anglais helmet et l'allemand Helm)
  • marais < *marisk (ancien francique, cf. l'anglais marsh et l'allemand Marsch (land))
  • marque (de marquer) & marche (frontière)< *marka (ancien francique, cf. l'anglais mark et l'allemand Mark)
  • rang < *hring « anneau, cercle, assemblée militaire » (ancien francique, cf. l'allemand Ring)
  • harangue < *harihring littéralement « troupe, armée (hari) & assemblée (hring) »
  • trêve < *treuwa « contrat, convention » (ancien francique, cf. l'allemand Treue)
  • haubert < halsberg littéralement « cou (hals) & protection (berg) »
  • beffroi < bergfrid littéralement « veille, protection (berg) & paix (frid) »
  • bleu < blao (cf. l'allemand blau)

Mots germaniques d'origine francique [modifier]

Le francique moderne a un autre nom: le néerlandais. NL = mot moderne en néerlandais, D = mot moderne en allemand. (liste non exhaustive)

  • abandonner (de bannjan = bannir) NL, D = bannen, verbannen
  • astiquer (de steken = pousser, utiliser un bâton pointu, relaté à stakka) NL = poetsen (faire briller) mais aussi steken, D = putzen (briquer)
  • bâtir, bastille (de bast = écorce, écorce de bouleau en lamelle, ficelle, matériel de construction) NL = bast (écorce) bouwen (bâtir), D = Bast (écorce) bauen (bâtir)
  • bière (de bera) NL, D = bier
  • blanc (de blinken = briller) NL = blink (cirage) blinken, D = blinken (luire)
  • bleu (de blao) NL = blauw, D = blau
  • bordure (de boord = bord) NL = boord
  • brun (de bruin) NL = bruin, D = braun
  • chic (de schikken = bien ranger, donc être valable) NL = schikken, D = schicken (adresser qc.) schicklich (bienséant)
  • choc, choquer (de scoc, schok = secousse) NL = schok, D = Schock
  • cresson (de kresso = plante signifiant nourriture) NL = waterkers, D = Kresse
  • dard (de darod = lance à jeter) NL = (mot disparu, cf. l'anglais Darts))
  • détacher, attacher, tailler, étal (de stakka = pieu, bâton pointu) NL = stok, D = Stock
  • écran (de scherm = protection) NL = scherm, D = Schirm
  • épieu, pieu (de speut = pointu) NL = spie, D = spitz
  • épier (de spieden) NL = spieden, D = spähen
  • escarmouche, escrime (de skirmjan = défence limitée) NL = schermen, D = schirmen
  • étale, étalage, étable (de stal = construction où l'on 'case' un animal) NL = stal, D = Stall
  • fief (de fehu, vee = troupeau de bovins) NL = vee, D = Vieh
  • fouquet (de fulko = écureuil) NL = eekhoorn (de eik = chêne, donc qui mange des glands de chêne /en anglais: acorn), D = Ecker
  • frais (de frisk, fris) Nl = fris, D = frisch
  • framboise (de braam bes = mûre + baie) NL = framboos (mot réintroduit)
  • fauteuil (de faldistôl = chaise stôl pliable faldi) NL = vouwstoel
  • galop(er) (de walalaupan, wel lopen = bien courir) NL = gallopperen (mot réintroduit), D = galoppieren
  • gant (de want) NL = want
  • garant (de warand, ware hand = vrai (et en) main) NL, D = garant (mot réintroduit)
  • garçon (de wrakjo = diminutif de wraker = tueur, donc: petit guerrier ) NL = jongen, D = Junge(n)
  • garde, gardien (de warding, dérivé de wachten = attendre, observer, surveiller, se tenir prêt) NL = wachter, D = Wächter
  • gaspiller, gaspillage (de wostjan, woest = rendre sauvage , sauvage) NL = woest (sauvage) verspillen (gaspiller), D = Wurst (sauvage) verspielen (gaspiller, perdre au jeu/la partie)
  • grappe (de greip, greep, grip = prise par une main, poignée) NL = greep (d'une main), tros (de raisins)
  • gris (de grîs, grau = brillant mais foncé) NL = grauw, grijs, D = grau
  • guerre (de werra, war = confusion) NL = oorlog (le mot war n'est qu'utilisé dans l'expression in de war = être confus), D = Wehr (barrage, défense)
  • haïr (de hatjan) NL = haten, D = hassen
  • hardi (de hard = dur, solide) NL = hard - le surnom de Charles, duc de Bourgogne, n'était pas "le téméraire" mais "le hardi"
  • honnir (de haunjan) NL = honen
  • jardin (de gaarden, dérivé de wachten (surveiller) = (plur.) les parcelles gardées, entourées d'une protection) NL = gaard, tuin, D = Garten
  • landes (de land= terre sableuse) NL, D = land (pays)
  • loge(r) (de laubja) NL = loge (mot disparu, mais réintroduit)
  • marche(r) (de marka = frontière, marque, marquer d'un pas) NL = merk, marcheren (mot réintroduit), D = marschieren (marcher)
  • marque (de marka = signe, signe d'une délimitation, frontière) NL = merk, D = Marke (marque)
  • marquis (de marka = région frontalière) NL = markgraaf (graaf = comte), D = Markgraf
  • maréchal (de marhskalk= gardien skalk des juments maren royales) NL = maarschalk (rang militaire), merrie (jument), D = Marschall
  • randonnée (de rant, rand = coté) NL = rand, trek (le voyage), D = Rand (coté)
  • rang (de hring = chaînon, anneau) NL = rang (mot réintroduit), NL, D = ring (anneau, route périférique)
  • saisir (de sakjan = revendiquer) NL = zaken (affaires) verzaken (renoncer), D = Sachen (affaires) entsagen (renoncer)
  • standard (de stand-hard = tenir debout fermement) NL, D = standard (mot réintroduit), stand, hard (dur)
  • trot(ter) (de trotton = mouvement de haut en bas) NL, D = trotten

Les mots réintroduits diffèrent des originaux parce que leur signification est plus spécifique et limitée. L'origine purement francique de certains mots est parfois discutée. Elle pourrait être germanique, bien que la différence n'est pas grande. Néanmoins, le néerlandais moderne compte pas mal de mots originaux qu'on ne retrouve pas en allemand. Pour le détail : on a compté plus de 750.000 mots en néerlandais, non compris les mots apparus depuis 1920. Ainsi le néerlandais compterait plus de mots que l'anglais. Pourtant, le nombre de mots d'origine étrangère est nettement plus limité qu'en anglais. Il est probable que les Francs avaient déjà une grande richesse de vocabulaire.

Doutes et questions quant à l'origine [modifier]

  • Il est clair que la langue francique est consistante et se distingue bien des autres langues (dialectes) germaniques. Si l'on croit que les Francs étaient un peuple mixte (les tribus mentionnées en haut), on peut supposer que leur langue était une langue mixte. Or, ce n'est pas le cas. Il se pourrait que les Francs aient vécu parmi les tribus mentionnées.
  • Le territoire des Francs était long et étiré. Quelque 300 km de longueur sur environ 10 km de largeur sur la rive droite de Rhin. Ce territoire n'est pas négligeable. Il est curieux que Tacite n'ait pas mentionné les Francs. Ce peuple devait compter au moins quelque 100.000 personnes. En lisant Germania", livre de Tacite, on a pourtant l'impression qu'il essaie d'être complet et exhaustif quant aux tribus germaniques. Certains historiens tentent d'expliquer ce fait en situant la terre d'origine des Francs aux alentours de la Pologne moderne. Mais cela aurait pour conséquence que le dialecte allemand de cette région ressemblerait à celui de Francs. Or, ce n'est pas le cas: il n'y a aucun lien. On ne trouve aucun dialecte en Allemagne ressemblant au francique.
  • Les Francs se sont d'abord établis dans le nord de la Belgique, en Flandre moderne. Cette région était déjà germanophone à l'époque romaine (voir Nerviens). Les Francs n'ont donc nullement importé leur langue dans cette région. Comme le bas-francique est l'ancêtre du néerlandais moderne, tout porte à croire que les Francs ont adopté la langue nervienne, et se seraient donc alors quelque peu celtisés[70].
  • Une question importante est : pourquoi les Francs se sont établis dans cette région ? Vu la puissance militaire des Francs dès le début, dès leur première mention par les Romains, on peut se demander pourquoi les Francs n'ont pas conquis une région gauloise nettement plus au sud. Les terres en Gaule sont nettement plus fertiles que celles de Flandre. D'ailleurs, la plupart des autres tribus germaniques ont poussé vers le sud ensoleillé.
  • Il y a même des doutes quant au nom « Franc ». Prétendument d'origine germanique, ce nom pourrait être dérivé du verbe latin frangere signifiant « tuer, détruire, briser, vaincre ». Le latin Francus pourrait signifier « tueur, soldat, guerrier ». Si cette origine est correcte, cela pourrait expliquer le fait que Tacite ne les a pas mentionnés : ils seraient issus de l'empire romain lui-même. C'étaient peut-être des militaires pensionnés, des Germano-Romains expatriés. Reste à savoir de quelle région. Comme la langue francique est l'ancêtre du flamand moderne, la région nervienne (le Brabant) peut être privilégiée.
  • Une autre origine mentionnée est norroise, de frekkr, fri signifiant « hardi », « courageux » en vieux-norrois[71], les Francs étant alors une ligue militaire dont l'origine nordique expliquerait la non-mention par Tacite.

Héritage des Francs [modifier]

L'essentiel de la culture héritée des Francs se trouve dans l'ouest de Allemagne, aux Pays-Bas, en Belgique (Flandre et Wallonie), au Luxembourg et dans le nord-est de la France tant dans l'architecture que dans la littérature ou les langues.

  • Un exemple frappant est l'architecture urbaine qui est restée proche de celle du Moyen Âge grâce aux Ernhaus que l'on retrouve dans de nombreuses communes de Thuringe, de Hesse ainsi que dans les régions du Rhin inférieur.
  • Les langues sont souvent présentes sous formes de dialectes substrats de l'allemand ou du néerlandais dont l'origine est la même que la langue jadis parlée par les Francs. Le francique peut être divisé en plusieurs sous-groupes, le bas francique (sud des Pays-Bas et Flandre), le moyen francique (Luxembourg, Communauté germanophone de Belgique, Sarre, Moselle, Rhénanie et Palatinat) et le francique méridional (nord de l'Alsace, nord du Pays de Bade et Hesse).

Annexes [modifier]

Bibliographie [modifier]

Sources primaires [modifier]

Sources secondaires [modifier]

Articles connexes [modifier]

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Voir « Franc » sur le Wiktionnaire.

Liens externes [modifier]

Notes et références [modifier]

  1. Grégoire de Tours, Histoire des Francs, livre II, 9 [archive].
  2. a et b Périn et Feffer 1987, p. 20.
  3. Périn et Feffer 1987, p. 26.
  4. Périn et Feffer 1987, p. 26.
  5. a et b Périn et Feffer 1987, p. 32.
  6. Périn et Feffer 1987, p. 34-35.
  7. a et b Rouche 1996, p. 75.
  8. Cellarius, Notitias orbis antiqui, Leipzig, 2 volumes, 1701, dans Schwarz, Remarques sur la géographie ancienne de Céllarius.
  9. Rank selon les régions germaniques peut se dire Wrang. Leipzig, 1732, tome II, p. 61.
  10. Périn et Feffer 1987, p. 38-42.
  11. Périn et Feffer 1987, p. 42-44.
  12. Périn et Feffer 1987, p. 45-48.
  13. Rouche 1996, p. 79 et 85.
  14. Kurth 1896, p. 86.
  15. Werner 1984, p. 289.
  16. Rouche 1996, p. 82.
  17. Kurth 1896, p. 85-91.
  18. Werner 1984, p. 289-292.
  19. Rouche 1996, p. 82-83.
  20. Kurth 1896, p. 99-100.
  21. Riché et Périn 1996, p. 228, notice « Méraubaude Ier (Flavius) ».
  22. a, b et c Werner 1984, p. 296-297.
  23. Rouche 1996, p. 83.
  24. Kurth 1896, p. 103-104.
  25. Settipani 1990, p. 6.
  26. Riché et Périn 1996, p. 220-221, notice « Mallobaude ».
  27. Rouche 1996, p. 54.
  28. Kurth 1896, p. 152.
  29. a, b et c Werner 1984, p. 297-300.
  30. Riché et Périn 1996, p. 288, notice « Richomer ».
  31. Rouche 1996, p. 73 et 83.
  32. Kurth 1896, p. 106-109.
  33. Rouche 1996, p. 82-84.
  34. Riché et Périn 1996, p. 42, notice « Arbogast Ier ».
  35. Rouche 1996, p. 81 à 131.
  36. Kinder et Hilgemann 1964, p. 116.
  37. Feffer et Périn 1987, p. 84-85 et 88.
  38. Rouche 1996, p. 116-117.
  39. Sidoine Apollinaire, Œuvres, Paris, 1652, p. 315.
  40. a, b, c, d, e et f Kurth 1896, p. 39-42.
  41. a, b, c, d, e, f, g, h et i Riché et Périn 1996, p. 158-159, notice « Francs ».
  42. a, b, c, d, e et f Werner 1984, p. 239-240.
  43. a, b, c, d, e, f, g et h Settipani 1996, p. 26-27
  44. D'après Feffer et Périn 1987, p. 30 et 33.
  45. Selon Jean Pierre Poly, « La corde au cou. Les Francs, la France et la loi salique », dans Genèse de l'état moderne en Méditerranée, Rome, 1993, p. 287-320 .
  46. Werner 1984, p. 241.
  47. Riché et Périn 1996, p. 161, notice « Francs rhénans (ripuaires) ».
  48. Gobry 1998, p. 12.
  49. a et b Rouche 1996, p. 43.
  50. a et b Gobry 1998, p. 13.
  51. Rouche 1996, p. 42.
  52. Rouche 1996, p. 197.
  53. Rouche 1996, p. 194.
  54. Rouche 1996, p. 198.
  55. Rouche 1996, p. 195.
  56. Chronique de Frédégaire, III, 9.
  57. Rouche 1996, p. 184.
  58. Rouche 1996, p. 43-44.
  59. a et b Rouche 1996, p. 266.
  60. Ménas, Sur la politique (Rouche 1996, p. 256).
  61. Geary 1989, p. 136.
  62. Geary 1989, p. 81.
  63. Rouche 1996, p. 256.
  64. Agathias, De Francis, dans Rerum Gallorum scriptores, tome II, p. 65.
  65. Tacite, De moribus Germanorum, 26.
  66. Rouche 1996, p. 183-184.
  67. Gobry 1998, p. 14.
  68. "bas" signifie "nord" (bas-Rhin, ou proche de la mer), et "haut" signifie "sud" (haut-Rhin, ou plus haut géographiquement.
  69. Trésor de la Langue Française informatisé.
  70. Alain Lottin, professeur émérite de l'Université d'Artois et Janine Desmulliez, professeur d'histoire du christianisme à l'Université Charles de Gaulle, Lille 3, Histoire des provinces françaises du Nord [archive], Presses Univ. Septentrion, 1988, p. 35 .
  71. Les royaumes barbares, Archeologia n°461, p. 27.

24 janvier 2010

Résumé émission Humanisation Christophe Narel

Référence description présentation de cette émisssion   http://freelovelife.canalblog.com/archives/2010/01/22/16618551.html


Résumé de patricia marais prise de notes.

L'objectif ici est de s'interroger d'abord sur qu'est-ce que l'être humain?

Quel est le but d'éduquer cet être humain?

Et de quoi se compose l'éducation?


Conception de l'être humain

Caractéristiques:  Balise + Contextuelle + Naturelle + Ouverte; à jour + Explicite

1-)  Caractéristique:  Balise

Proposition; projet en construction; anthropologie


Pourquoi concevoir?

Quel est le but?

Réponse:  Éduquer, développement intégral de la personne.  =  Humanisation


Actualisation du moment opportun

Développement

+ Autonome

Responsable

Créateur

Individuel & Collectif

Bon développement avec lui-même & social, environnement, etc.


2-)  Caractéristique:  Contextuelle

Naturelle

Ouverte; à jour

Explicite


2.1)  Contextuelle:

21 è siècle, au Québec, système démocratique, service éducatif obligatoire.


2.2)  Naturelle:

Existant, parmi la nature, être, réel

Chaque être vient avec sa nature propre, tel le lion vient avec sa nature de lion, la fleur vient avec sa nature de fleur, l'humain vient avec sa nature d'humain.

C'est un référenciel commun; nature humaine.


2.3)  Ouverte; à jour:

Référence sur ce que nous sommes ici et maintenant.


2.4)  Explicite:

Clairement défini, l'opposé de implicite.

Complexe:

Dépendance, vivre avec nous-même 24h/24 & notre environnement.

Multi-relationnel

Multi-dimentionnel


Inter-relations Externe, Interne:


Externe:

Considérer inter-relation personnelle, avec;

Autrui

Société

Environnement

Réalité


Interne:

Considérer inter-relation personnelle, avec;

Lui-même

Corporel

Affectif

Sexuel

Emotion

Sensation


Caractéristique  trans-disciplinaire:

Perspective Humanisation:

À la fois entre les disciplines et au-delà des disciplines


Caractéristique objective:

Pensante

Fonctionnement

Permet d'observer, juger.

casquette scientifique, opposer à religion


Scientifique:

Étudie des parties dans le tout, et

Étudie le tout au-delà des parties.


Ouverte; à jour:

Auto-composition

Dynamique

Recyclable


Implicite:

Sous-entendu


Explicite:

Clair

Informé

Cohérent

ÉCRITE

Critique pour;

Améliorer


Conclusion:


Offrir base Complète:  Conception Être Humain

Développement

Intégralement

L'être humain


Vivre pleinement sa nature humaine.


Christophe Narel

mouvementhumanisation.org


http://mouvementhumanisation.org/

Pour acheter le DVD;

http://www.mouvementhumanisation.org/fileadmin/documents/Produits_du_mouvement/Bon_de_commande_2009-2010.pdf


patsy  24 janvier 2010 am

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